Make a Little Birdhouse in Your Soul


à Où Lieu d'Art Actuel
dans le cadre de Art-a-Rama et Le Salon du Dessin

« Tu n'as pas à être embarrassé ou te sentir mal parce que tu as fait de mauvais choix. Tout le monde fait parfois de mauvais choix. »

En fréquentant des lieux de diffusion de messages sociaux, éducatifs, moraux, conventionnels (comme une salle de classe par exemple), "l'apprenant" est amené à prendre la position d’un croyant (celle du bon ou du mauvais) par rapport aux informations qu'on lui transmet.
Dans le cadre de mes installations, l’espace d'exposition propose d'interroger cette transmission de sens où le regardeur peut reconsidérer la place et le pouvoir de son interprétation des
Dans mes travaux récents, j'incorpore des éléments comme le coquillage, des mains, des supports pedagogiques ou la mousse (naturelle ou synthétique) qui évoquent à la fois les notions de vulnérabilité, de protection, assimilation et de dissimulation. J’utilise souvent des textiles pour leur flexibilité et leur texture ainsi que pour leur propension à couvrir et camoufler les corps ou les objets.

Ces éléments sont intrigants, comme une porte ouvrant vers un lieu secret ou inconnu, ils provoquent une expérience de l'ignorance et apparaîssent en un sens comme un écran de projection. Celui qui ne peut voir imagine.
Représentés par une image, un objet, une vidéo, une performance et porteurs d'un sens caché, ces éléments deviennent symboles.

En prenant en compte la frustration que provoque l'écart entre la transmission et l'interprétation des informations, j'interroge la sensation de "confort" que l'on recherche dans la compréhension des signes. Par mes installations, je tente de recréer cette sensation, un espace de "tranquilité" où le regardeur fait appel à sa faculté d'imaginer.

à partir de l'idée de le symbole, qu'est-ce un symbole? qu'est ce qu'il fait? est-ce qu'il fait quelque chose, est-ce que il est productive en soi , .. ou pas?
non, c'est plutôt le regardeur, n'est pas? Le symbole est un objet, un image, une forme,une motif, une ..chose qui représente, c'est-à-dire, qui signifie une idée, un concept, un croyance, un envie.

Mais, la forme qui tient, qui contient, ce(s) idée(s) ou concepts, la forme qui devient l'endroit où on projette ces concepts.. qu'est ce que c'est? Qu'est ce qu'elle fait, qu'est ce qu'elle sais, qu'est ce elle veut? est- ce qu'elle est concerné qu'on la regard et qu'on la donne tellement de signification?

Pensant à la forme, elle-même, ma recherche concerne un détachement entre la coquille (forme) , le signification (l'intérieur) et d'où vient le sens (regardeur).

C'est là où j'ai commencé mon exploration et utilisation des formes comme telle la coquillage, la mousse végétal (quelque chose qui couvre), le citron et même les formes des structures (comme les tomettes en papier mâché). Les matériaux que je travaillais avec sont utiliser par décision spécifique, comme le textile, la mousse (synthétique) et même la papier mâché et peinture, parce qu'ils protègent, ils couvrent, soit une intérieur ou quelque chose en dessous.
A partir de ces idées on peut imaginer et j'espère qu'on peut envisager des connexions entre le bonhomme 'regardeur' et les matériaux et formes utilisé.

La rivière et aussi,liée à cette recherche: j'imaginais la rivière comme un objet distinct- imaginez une rivière séparé de la terre. Sans contexte, comment est-ce qu'on la voit? Comment est-ce qu’elle fonction? C'est un jeu du langage, comment un mot existe sans son phrase?

Et les mains, c'est une question de la forme, de la production de la forme et aussi le traitement du forme comme le traitement ou le toucher fait la sens-

Mais,cette élément, les mains, devient une référence très important, une référence qui parle de l'influence, de l'imprint, de la trace.
Et, on voit cette idée aussi dans le cyanotype- un type de photographie qui garde la trace du forme, d'un objet, imprimé par le soleil. Là, le soleil devient une façon de fossiliser quelque chose.

La trace et l'imprint reviennent sur l'idée du sens, l'idée de signification qui est soit dans la forme, soit dans le matériel qui fait la forme ou soit dans un endroit qu'on ne voit pas ( l'esprit?). Où est ce qu'on trouve la trace d'un sens?
This exhibition works like web, knitting together several distinct notes (in the form of unique works) that explore the function and interpretation of signs through metaphor. However, these signs don't necessarily carry information, they are clues that reference their own role as things to be transfered as much as they are things of pure gesture: made to be (received?). These moments that move throughout the space tumble like dominoes, stringing together and then splintering a symbology of acts of deciphering and transmitting. Utilizing elements that speak of carrying and covering such as shells, moss, foam, fabric and plastic tarps, the materiality intends to evoke feelings and notions of vulnerability, protection, dissimulation and assimulation. Incorporating storied works that speak of group submission- a short film based on a scene from the essay "About a Mountain" by John D'Agata and a quilt, "The Guide(Underground Railroad)," that tells the story of group rebellion, the space contains a message that walks along the subtle divide between self and society. Relating the concept of the 'sign as carrier' to the idea of 'meaning as migratory,' an underlying theme connecting territory with selfhood arises. All together the exhibition is a (complicated) venture confronting a more global concern of the responsibility involved in handling information and thus when or how to take initiative as an individual within a greater network, and what that initiative (act) means depending on your identity (or rather how your person(a) is read) within the society and territory where it's performed. 
The Watcher
The River
The Migrants
The Guide (Underground Railroad)
The Future (your belly)
Pedagogical Exercises